Les membres de la cellule de Communication d’Anicet Georges Dologuélé devenus la cible des requins de Touadera en cette période d’état d’urgence.

Les membres de la cellule de Communication d’Anicet Georges Dologuélé devenus la cible des requins de Touadera en cette période d’état d’urgence.

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Les membres de la cellule de Communication d’Anicet Georges Dologuélé devenus la cible des requins de Touadera en cette période d’état d’urgence.

Bien avant la délibération des résultats de l’élection présidentielle du 27 Décembre par la Cour Constitutionnelle, le conseiller en stratégie de communication et en même temps un des porte-parole du Président Anicet Georges Dologuélé, Christian GAZAM BETTY a été visité à son domicile à plusieurs fois par des hommes armés à des heures tardives. Ne pouvant pas supporter les coups de tirs et les bruits des véhicules toutes les nuits, celui-ci est obligé de faire déménager sa petite famille pour un lieu sûr. Cette situation a plusieurs fois été décriée dans les media de la place sans recueillir un minimum d’attention des autorités compétentes chargées d’assurer la moindre sécurité de tous les citoyens centrafricains.

Dans la même période, un second membre de cette cellule de communication, Euphrem MASSEO, à son tour a échappé de bel à deux reprises aux requins à son domicile. Ayant échoué à leur dernier coup, ils ont décidé de laisser des traces cette fois dans la nuit de ce  Vendredi à Samedi aux environs de 22h. Après avoir défoncé le portail de la clôture, ils ont cassé la porte du salon croyant retrouver leur cible. Après fouille ou ces requins n’ont pu voir personne dans la maison, ils ont emporté quelques appareils se trouvant dans la chambre de ce dernier.

Le dernier cas patent est celui du deuxième porte-parole de la Direction de Campagne Serge GBAYOMBO arrêté le vendredi suite à une convocation de la gendarmerie.

En bon citoyen respectueux des institutions de la République, il s’est rendu à la brigade pour répondre à la convocation.

A sa grande surprise, il a été mis aux arrêts suite à un motif pour lequel il ne s’y reconnaît pas : outrage au président de la République et le Premier Ministre sur les réseaux sociaux.  

Jusques à quand les paisibles citoyens centrafricains vont être traqués par les Gardes Présidentiels et les Requins alors que les ennemis de la République sont identifiés armes en main et localisés ?

La République Centrafricaine a plus que besoin d’unité de tous ces fils et filles aujourd’hui pour faire face aux ennemis envahisseurs qui mènent le pays en bateau.

Il est hors de question d’accepter la chasse aux sorcières contre ses militants et URCA n’entend pas céder face à ces intimidations de la part du régime.

Ainsi nous prenons en témoins la communauté nationale et internationale des attitudes des autorités actuelles qui constituent des violations graves des droits de l’homme et entrave à la liberté d’expression des Centrafricains.




 



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